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La pause de Bigflo & Oli

Time for a break pour les deux frères toulousains, qui s’accordent une pause bien méritée le temps de retrouver l’inspiration et de nous préparer quelques chansons dont ils ont, seuls, le secret.

Flo, Oli, pourquoi faire un break alors que vous êtes plus que jamais en haut de l’affiche ?

Big Flo : On vient d’achever une tournée de 150 dates et trois albums, je crois qu’on a bien mérité une petite pause. Enfin, je dis « pause », mais on va surtout se remettre à écrire et composer au calme, à la maison. À l’ancienne.

Oli : Ça va être un retour à l’essentiel. La vie en tournée, c’est génial. C’est un vrai tourbillon. Mais les loges et les Tour bus, c’est pas forcément l’endroit idéal pour écrire des chansons. Si c’est sur scène qu’on se sent le mieux pour chanter, c’est chez nous, à Toulouse, qu’on retrouve l’inspiration.


Ce break sera donc studieux.

Big Flo : Yes. On va se remettre à écrire, à composer. On va aussi continuer d’avancer sur notre projet de film et sur le développement de notre marque de fringues. Mais on va quand même s’accorder quelques vacances.


Votre définition des vacances parfaites, justement ?

Oli : Notre kif : les voyages en voiture, vitres ouvertes, music on et on the road. Lézarder sur la plage, c’est sympa, mais on est plutôt du genre à bouger, à faire plein de choses. On est très attirés par les pays d’Amérique Latine comme le Mexique, qui est un vrai coup de cœur. Évidemment, il y a l’Argentine, dont notre papa est originaire. Sinon, sans forcément partir très loin, je trouve que les gens ont tendance à trop vite oublier la beauté de l’Espagne ou de notre région. L’Occitanie, c’est immense, c’est surprenant. C’est un petit monde en soi.


Vous continuez toujours quand même de faire une petit saut à Montpellier ?

Les deux : Bien sûr. On adore venir profiter de l’été ici. On trace la route entre frères et on rejoint des potes du côté de Carnon et Palavas. On se fait des plages, des bons petits restos en ville… Montpellier, c’est un peu une seconde maison.

Propos recueillis par Xavier Paccagnella - 25/09/2020

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